· 

Atelier 3 : Veille marché & lancement veille juridique

Aujourd’hui c’est la journée biscuit ! Rendez-vous 9h à La Cordée Valmy

 

 

 

 

 

Revue des troupes avec notre G.O. d’atelier mais aussi notre Coach Agitatrice Céline.

 

 

Avec le medium de cartes tirées au sort nous déposons chacun notre humeur et les cailloux restés dans nos baskets : où en sommes-nous dans le projet, dans nos projets ? Les enquêtes terrain pour tester nos idées fraichement sorties de l'atelier créativité nous ont un peu démoralisés, on a lutté pour avoir des retours et nos idées ont fait un peu plouff …

 

 

 

 

 

 

 

Malgré tout il faut continuer, tout n’est pas à jeter,  « de notre tarte va sortir des petits biscuits » !

 



 

L’enjeu de  la première partie d’atelier : choisir … arhhh mais quel horrible mot ! Il serait pourtant si simple de laisser ouvert le champ des possibles après cette dernière enquête qui nous laisse convaincus de rien.

 

Céline nous aide à structurer les retours recueillis et prendre du recul par rapport à nos deux idées : Nono le Petit Robot et le Mur des possibles. La discussion, l’échange nous permettent de nous réaligner et finalement de choisir le mur des possibles.

 

 

 

Maintenant il s’agit d’envisager le business model avec cette idée : comment pourrait-on en vivre ? On découvre ou redécouvre l’outil le Lean Canvas et nous nous  essayons sur notre première cible la famille

 

 

 

La Cordée....le co-working avec un mousqueton !
La Cordée....le co-working avec un mousqueton !

 

 

 

 

 

 

 

Lionel, couteau suisse animateur de la Cordée Valmy passe une tête. Il nous présente le lieu et la philosophie de la Cordée. Il produit le Wahou effect avec leur mode d’organisation en «  Entreprise libérée », effectif depuis maintenant plus de 2 ans. Ce sont les premiers convaincus que nous rencontrons.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour l’heure retour aux Ulysse31, et à leur Mur des possibles. Comment suivre toute l’information sur notre sujet, détecter et suivre nos concurrents, nos prescripteurs, les changements d'avis de nos clients ? Céline  nous  présente des outils de veille pour non initiés ( aucun de nous n'a travaillé pour la DST) et  capturer sur internet les risques et opportunités de notre futur marché

…à faire tout le temps et pas uniquement en défrichage du projet. Entendu Céline, quelqu’un connait un stagiaire ?

 

 

On termine par les travaux préparatoires à l'atelier décomposition fonctionnelle de vendredi prochain. Nous devons

  • Construire, faire passer et analyser les résultats d’un questionnaire destiné à  quantifier besoin, cible, type d’objet…
  • Créer des personas, symboles de nos segments. Il s'agit de jouer à vis ma vie et se mettre par exemple dans la peau de l'adolescent que nous ne sommes plus.
  • Finaliser une première version du lean canvas
  • Mettre en place notre veille marché

 

On sort un peu hébétés, songeurs face à  tout ce qu'il y a à produire  mais loin d’être paralysés .

Et en plus on a des vivres : du chocolat et des biscuits ! (Merci Céline)

Suite  à l'atelier veille marché, nous nous installons dans un café proche de la Cordée pour avancer dans nos travaux...

 

... Avant de rejoindre Rolland en fin de journée qui nous présente un aide mémoire de la propriété intellectuelle.

 

 

Nous nous familiarisons au vaste domaine de la propriété intellectuelle, via les 2 axes que constituent la propriété littéraire et artistique et la propriété industrielle. On découvre les notions de droit d'auteur, droit des marques, droit des dessins et modèles et droit des brevets.

 

On apprend que notamment les créations de la nature, les découvertes, les lois scientifiques ou techniques, les simples idées ou concepts non matérialisés... ne sont pas brevetables.

 

On évoque l'enveloppe Soleau (antériorité), le copyright au UK, l'INPI en France, l'Office Européen des Brevets, l'Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle.

 

 

Enfin, on découvre que le législateur peut être en retard par rapport à la société civile. A date, on est incapable de définir clairement le droit d’auteur dans le cas du tableau "Edmond de Bellamy".  Ce portrait, produit par un algorithme nourri par près de 15 000 portraits peints entre le quatorzième et le vingtième siècle, a été vendu 432 000 euros par la maison d'enchères Christie's fin 2018.